Voici un petit poème pour rire, suite au rendez vous citoyen d'hier soir, et
à ce qui s'y est dit :

Sonnet au comité.( Est ce sage??)


A l'aube de l'histoire, il s'interroge, hagard,
Quel sera son destin? Lui faudra t il l'écrire?...
A peine né en ligne, déja, son Monde exige!
Il l'écoute. Aux aguets, en quéte d'un oracle.

Sa volonté vacille, un doute, hideux, le fige.
Attends, crie l'Assemblée, ils savent des miracles :
Nos désirs utopiques forgeront le hasard
Car ce monde est à nous, et ses pièges, des rires.

Les listes ont pris le vent, ou zéphir, ou tornade.
Les abonnés, en croupe, sont traités de malades!
Cette fiévre avant sienne sur tous étend son feu,

Et bientot, l'avatar, par une pirouette,
Enverra la planète le cul par dessus tête.
Tu le crois, ça? Pourquoi pas! Tu sais, on le peux.

N'importe quoi, le dernier vers est en fait :

Tu le crois, ça? Quedal. C'est une mensonge affreux.
Mais non, rien compris, en fait il faut finir par :
Tu le crois ? Pour canal, c'est un jackpot, en mieux.
Ah, la, la, mais non, c'est :

Tu le crois, ça? la fin, fais en ce que tu veux.

"ulyssEol" <peyrou@2nd-world.fr>